Voir la déclaration complète du ministère des Affaires étrangères et de la coopération internationale:

Le ministère des Affaires étrangères et de la coopération internationale rejette la déclaration faite le 16 avril 2025 par les affaires de l'ambassade de la République populaire de Chine que le Guyana et le Venezuela «peuvent résoudre la question des frontières par des consultations et des négociations amicales».

Le ministère rappelle au gouvernement la République populaire de Chine du poste indiqué clairement à plusieurs reprises par le gouvernement de la Cooperative Republic of Guyana que l'affaire est en attente devant la Cour internationale de justice par décision du Secrétaire général des Nations Unies, conformément à l'accord de Genève en 1966 des parties en 1966 sur la colonie de la controverse.

La Déclaration d'Argyle du 14 décembre 2023 reconnaît «l'affirmation du Guyana selon laquelle elle est attachée au processus et aux procédures de la Cour internationale de justice pour la résolution de la controverse frontalière…». À cette fin, et afin de ne pas saper la juridiction ou l'autorité du tribunal comme le forum approprié pour la résolution de cette controverse, le Guyana n'engagera pas de discussion sur aucune question qui a été portée devant le tribunal.

Le ministère des Affaires étrangères et de la coopération internationale a pris note qu'il n'y avait aucun commentaire du gouvernement de la République populaire de Chine sur l'annonce flagrante par le gouvernement de la République bolivarienne du Venezuela qu'elle a l'intention de procéder aux élections le 25 mai 2025 pour un gouverneur et législatif de «Guayana Esequiba State», qui est le nom de Venezuela. Il s'agit d'une violation claire de la souveraineté et de l'intégrité territoriale du Guyana.

Les principes du droit international et du respect mutuel continueront de guider les actions du gouvernement du Guyane dans ses interactions avec tous les États membres de la communauté internationale.

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