Voir la déclaration complète de la Commission du secteur privé :
La Commission du secteur privé salue et s’engage à soutenir la déclaration conjointe de Son Excellence Dr Mohamed Irfaan Ali, président, et Aubrey C. Norton, chef de l’opposition du Guyana, condamnant « la violation flagrante de l’état de droit par le Venezuela ». » dans sa dernière tentative fallacieuse de revendiquer le territoire d’Essequibo en Guyane.
La Commission condamne, dans les termes les plus fermes, cette sinistre menace la plus récente lancée par le gouvernement du Venezuela contre l’intégrité et la souveraineté de quelque deux tiers de notre pays, en violation d’un traité d’arbitrage et d’une sentence finale de 1899, en vigueur Il y a 124 ans, les frontières entre le Venezuela et ce qui était alors la colonie de la Guyane britannique et qui est aujourd’hui le pays indépendant de la Guyane ont été fixées pour toujours comme un règlement complet, parfait et définitif.
La Commission du secteur privé souhaite rappeler au gouvernement et au peuple du Venezuela que le 30 janvier 2018, le Secrétaire général des Nations Unies, Son Excellence Antonio Guterres, conformément à son mandat en vertu de l’Accord de Genève de 1966, a choisi la Cour internationale de Justice (CIJ) comme moyen de régler la controverse.
La Commission du secteur privé, s’exprimant au nom de l’ensemble de la communauté des affaires de notre nation souveraine, réaffirme son soutien au fait que notre gouvernement ait porté cette affaire devant la Cour internationale de Justice, et son engagement à respecter le jugement de la Cour sur la validité de la sentence de 1899. comme contraignant pour la Guyane et le Venezuela.