Ministre des collectivités locales et du développement régional Nigel Dharamlall

Sans confirmer définitivement le report des élections des gouvernements locaux (LGE) prévues pour le 13 mars de cette année, le ministre des gouvernements locaux et du développement régional, Nigel Dharamlall, a déclaré que la date exacte des scrutins serait révélée une fois la Commission électorale guyanienne (GECOM) terminée. son travail interne.

S’adressant à cette publication lors d’une interview exclusive mardi, Dharamlall a noté qu’il y a de nombreux problèmes en cours au GECOM qui doivent être résolus avant l’organisation des élections.

« GECOM a fait ce qu’il fallait pour s’assurer que les élections se tiennent au bon moment. Je crois que l’opposition a… fait beaucoup de travail sournois pour bloquer les efforts visant à organiser les élections locales le 13 mars. Donc, avec certains des changements qui doivent se produire, en termes d’ordonnances qui doivent être émises, Je pense que dès que GECOM aura terminé ses travaux internes, nous serions mieux placés pour annoncer une date précise », a relaté le ministre.

Le procureur général, Anil Nandlall avait précédemment exprimé que GECOM pourrait ne pas être en mesure de se rendre aux urnes à la date annoncée par le ministre.

« Malheureusement, compte tenu de la façon dont les événements se déroulent dans cette agence, nous avons eu des retards constants. Bien que le ministre ait fixé un jour pour la tenue des élections, de toutes les indications, il semble que GECOM ne sera pas en mesure de tenir ces élections », avait soutenu Nandlall.

GECOM a déjà complété les étapes statutaires, telles que les réclamations et les objections, pour extraire une liste électorale officielle pour LGE.

Cependant, l’agence a été forcée de reporter le jour de l’investiture après que l’opposition est allée en justice pour contester la liste électorale et le processus utilisé.

Les LGE, qui sont généralement dus tous les deux ans, ont eu lieu pour la dernière fois en 2018. Lors du dernier LGE en novembre 2018, l’opposition PPP/C de l’époque avait obtenu 52 des 80 zones d’autorité locale (LAA). Cela fait suite à la tenue de la LGE en 2016, au cours de laquelle les PPP/C ont également revendiqué la majorité des LAA.

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