Cher éditeur,
L'échec continu du ministre et de son ministère de la Culture, de la jeunesse et du sport a de nouveau été exposé. Son incapacité à prolonger les invitations au chef de l'opposition et aux membres de l'opposition pour la 55e cérémonie d'élévation du drapeau de la République du pays est encore un autre affrontement grave aux principes de la démocratie et de l'inclusivité, diminuant les efforts pour forger l'unité nationale.
Cette surveillance, qu'elle soit délibérée ou négligente, est largement inacceptable, en particulier à une occasion d'une telle signification nationale, où tous les efforts devraient être faits pour favoriser la cohésion et la convivialité parmi les habitants de notre république bien-aimée.
Il est impératif que cette transgression soit appelée pour ce qu'elle est: un mépris flagrant et un manque de respect pour les principes fondamentaux de la représentation nationale et un revers dans notre voyage collectif vers l'unité et la réconciliation
La déclaration du ministère, tout en reconnaissant la surveillance, ne fait pas grand-chose pour apaiser les préoccupations de l'opposition et du public plus large. Leurs excuses, aussi formelles, ne peuvent pas effacer ni diminuer l'impact de leur incapacité à assurer une participation équitable à l'une des cérémonies les plus symboliques de notre pays. Un tel lapse flagrant souligne un problème plus profond au sein du ministère et du Bureau du directeur de la culture, une incapacité apparente ou une réticence à garantir que les fonctions de l'État incarnent vraiment les valeurs d'inclusivité, de respect et de l'objectif souhaité de vraiment réaliser «un Guyana».
Il est particulièrement inquiétant qu'une telle surveillance se soit produite malgré les efforts évidents de Son Excellence, le président Mohamed Irfaan Ali, pour promouvoir et inculquer un sentiment d'unité parmi tous les Guyanais. Bien que davantage reste à faire dans la quête de la cohésion nationale, cet incident ne fait que saper son leadership et ternir l'image d'un gouvernement qui cherche à construire des ponts au sein de son peuple, mais encore une fois, je dis, il faut beaucoup plus.
L'embarras que cela a causé au bureau du président est indéniable, et il est tout à fait évitable que la diligence, les soins, la considération et la maturité due avaient été exercés par les entités responsables.
Ce n'est pas une erreur administrative triviale; C'est un affront au processus démocratique et au tissu même de notre nation. La cérémonie d'élévation du drapeau de la République est une occasion solennelle qui commémore l'indépendance et la souveraineté durement gagnées de notre pays. C'est un moment où les divisions politiques, ethniques et sociales devraient être réservées en faveur d'une vision unifiée de la fierté et du progrès national.
Exclure une partie importante et très importante du leadership de notre pays d'un tel événement, c'est envoyer un message dangereux et diviseur que certaines voix et perspectives sont moins précieuses que d'autres. Il s'agit d'une fausse déclaration brute des idéaux sur lesquels notre République se trouve. Un peuple une nation un destin.
L'assurance du ministère que «des mesures strictes seront mises en œuvre pour empêcher de telles oublis» est une petite consolation prise avec un grain de sel, compte tenu des tours précédents. Mais les dégâts ont déjà été causés.
Les assurances vides ne corrigent pas les préoccupations profondes concernant l'intégrité des fonctions de l'État et l'inclusivité de nos célébrations nationales. Ce qui est nécessaire, ce n'est pas seulement les amendements procéduraux, mais un engagement démontrable à s'assurer que toutes les parties prenantes, quelle que soit leur affiliation politique, ont le respect et la reconnaissance qu'ils méritent.
À l'avenir, nous, les gens, exigeons une action concrète pour rectifier cette question et empêcher des événements similaires à l'avenir. Un examen complet du processus d'invitation, une plus grande transparence dans la planification des événements et la responsabilité des personnes responsables de cet échec doivent être poursuivis, donc un plus grand leadership.
En outre, un engagement sans équivoque du ministère à engager tous les acteurs politiques dans la planification et l'exécution des événements nationaux est essentiel. L'opposition n'acceptera pas de simples excuses sans étapes tangibles vers une réforme positive.
Dans l'esprit de la véritable unité nationale, laissez cet incident servir de catalyseur pour un dialogue significatif et une action responsable. Nous voulons une Unity Guyana où il s'agit également d'opportunités et de prospérité pour tous et c'est réalisable sans intervention étrangère. Guyanais avec des responsabilités, le leadership inclusif et patriotique peut le faire pour nous-mêmes.
Le ministre de la Culture, des jeunes et du Sport, ainsi que le Bureau du directeur de la culture, doivent reconnaître leur rôle important non pas comme des gardiens de l'exclusion politique mais comme des gardiens de notre héritage national partagé. Notre république appartient à tous les Guyanais, et il est temps d'accepter ce fait indéniable et irréfutable.
Il est impératif que toutes les fonctions nationales de notre pays reflètent cette vérité sans équivoque. Rien de moins est un mauvais service à notre démocratie et une insulte au tissu même de notre République.
Sincèrement,
Jermaine Figueira, MP