Voir la déclaration complète du Bureau de la Première Dame :

Des espaces publics sûrs, y compris des parcs, sont essentiels au développement humain et communautaire. Des études menées à travers le monde indiquent qu’il existe des avantages pour la santé associés à la présence d’espaces verts. Les villes avec un plus grand nombre de parcs publics, par exemple, enregistrent des taux de diabète et d’obésité plus faibles.

De même, il existe un certain nombre d’avantages sociaux et environnementaux associés à la présence d’espaces publics verts sûrs ; y compris l’amélioration des relations sociales, un sens renforcé de la communauté et une sensibilisation accrue à l’environnement.

Ce sont quelques-unes des considérations qui ont conduit à la mise en œuvre du projet d’embellissement national par mon bureau en 2020.

Comme beaucoup d’entre vous le savent déjà, le projet d’embellissement national vise à sauvegarder les qualités paysagères de la Guyane, tout en créant une société plus sociale et plus respectueuse de l’environnement.

La revitalisation scénique peut à la fois motiver et accélérer le renouvellement et le réinvestissement de la communauté, ce qui conduit finalement au développement communautaire.

Au cours des huit derniers mois, deux parcs ont été aménagés et remis aux habitants de La Jaousie sur la côte ouest du Demerara (WCD) et de New Amsterdam, Berbice.

Trois autres parcs sont actuellement en cours de développement : un à Diamond/Grove sur la rive est du Demerara (EBD), un à Tuschen sur la rive est d’Essequibo et un autre à Corriverton, Berbice.

De plus, la digue de Kingston fait l’objet de travaux d’amélioration qui la transformeront en une plaque tournante majeure pour les activités commerciales et culturelles.

Cependant, le manque de soutien de certains clients qui fréquentent ces installations et ne respectent pas les règles et réglementations établies entrave et sape ces efforts.

Je continue de recevoir des rapports constants de clients qui se débarrassent de manière inappropriée de leurs déchets dans ces installations, malgré le fait qu’il y ait des poubelles adéquates. Les vendeurs qui exercent leur métier dans ou autour de ces espaces sont également coupables d’une mauvaise élimination de leurs déchets, ce qui présente des risques pour la santé et l’environnement.

De plus, j’ai reçu plusieurs rapports et preuves photographiques de destruction de biens dans certaines de ces installations récréatives. Des lanternes, des tables, des chaises et d’autres structures décoratives qui coûtent des centaines de milliers de dollars et qui ont été soit données par des citoyens bienveillants, soit achetées avec l’argent des contribuables, ont été malicieusement endommagées dans plusieurs de ces parcs.

J’en profite pour rappeler aux auteurs que les lois du Guyana prévoient que des personnes peuvent être accusées d’avoir endommagé des biens publics ou privés en vertu du projet de loi sur l’administration de la justice.

De même, des sanctions existent pour les punaises, y compris les entreprises. Alors que nous utilisons et profitons de ces installations publiques, je demande que nous prenions le temps d’apprécier le travail qui a été fait pour les développer et l’importance de veiller à ce que d’autres puissent en bénéficier également.

Continuons à nous efforcer de développer des communautés plus propres, plus sûres et plus fortes.

Merci.

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