Lors de la réunion mensuelle des responsables de la circulation et des parties prenantes de la police guyanienne, le chef de la circulation Mahendra Singh a lancé un avertissement sévère concernant la tendance inquiétante des passagers qui négligent de porter un casque lorsqu’ils sont assis sur des motos.

Connu pour son approche pragmatique de la sécurité routière, le chef de la circulation a souligné les conséquences potentiellement mortelles associées à ce comportement dangereux.

S’adressant aux conducteurs et aux passagers, il s’est dit préoccupé par ce mépris flagrant du code de la route, même de la part de personnes en position d’autorité.

« Conduire une moto sans casque ne me donne pas seulement la priorité [the motorcyclist] être un homme mauvais ou un homme reconnu que les forces de l’ordre ne souhaitent peut-être pas cibler à des fins répressives ; et la même chose vaut pour le passager », a souligné Singh lors de la conférence.

Il a souligné le risque lié à la conduite sans équipement de sécurité approprié en déclarant : « Vous (le passager) devez être un imbécile pour vouloir vous asseoir sur un vélo (et) être remorqué par quelqu’un qui ne porte pas d’équipement de sécurité ; ou il [she] porte, et tu ne portes pas. Puis, quand l’accident survient, vous mourez… Quelqu’un sera content de l’affaire quand vous mourrez, Lyken ou les autres.

En outre, le chef de la circulation a souligné l’importance du respect mutuel entre les agents chargés de l’application des lois et les civils. « Le respect est un flux à double sens », a-t-il déclaré en exhortant les policiers à dialoguer avec les civils de la manière dont ils souhaiteraient s’engager. « Faites ce qu’il faut et non seulement attendez-vous à ce qu’ils se conforment à vos ordres, mais appliquez-le de manière à ce que cela soit fait de manière appropriée… », a-t-il déclaré. « Utilisez la Force pour respecter les procédures appropriées », a-t-il conseillé.

Soulignant les conséquences potentielles pour les automobilistes qui ne respectent pas le code de la route, il a mis en garde contre les charges financières et les handicaps pouvant résulter d’accidents. « Vous devez considérer que quelqu’un d’autre utilise la route avec vous », a-t-il ajouté.

Le chef de la circulation a exhorté les membres du public et les responsables de l’application des lois à donner la priorité à la sécurité routière, soulignant que le professionnalisme et le respect des procédures appropriées sont essentiels pour maintenir l’intégrité du processus d’application.

Cet avertissement sévère est un rappel crucial aux conducteurs guyanais de donner la priorité à la sécurité sur les routes, car les accidents de la route ont augmenté. En 2023, la Guyane a connu une augmentation stupéfiante de 76,8 % du nombre de tués sur les routes, passant de 99 en 2022 à 175.

Le ministre de l’Intérieur, Robeson Benn, a répondu de toute urgence à cette situation alarmante en citant la vitesse excessive comme le principal facteur contribuant à une augmentation de 110 % du nombre de décès, de 61 en 2022 à 128 en 2023. Benn a annoncé que le gouvernement prévoyait d’introduire des billets électroniques pour les infractions au code de la route. et distribuer des casques aux motocyclistes.

Lors d’une conférence de presse, Benn a souligné la nécessité de modifier les comportements pour améliorer la sécurité routière et a encouragé les citoyens à signaler les pratiques dangereuses, notamment de la part des opérateurs de minibus et des chauffeurs de taxi.

Le ministre a reconnu les défis posés par le mouvement des matériaux de construction, en raison du développement en cours, en soulignant l’importance de partir tôt pour garantir une arrivée à temps sans le stress des accidents.

Une analyse détaillée des données de trafic a révélé des tendances inquiétantes : les conducteurs masculins ont connu une augmentation de 79,2 % du nombre de décès, les décès de femmes ont augmenté de 64,7 % et la tranche d’âge des 25 à 42 ans représente 43,4 % de tous les décès.

Les accidents mortels impliquant des motocyclistes ont connu une augmentation spectaculaire de 166,7 %. Pour répondre à ces préoccupations, des programmes complets d’éducation et de formation des conducteurs seraient mis en œuvre pour promouvoir la sécurité routière dans le pays.

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