L’enseignante de 22 ans qui aurait assassiné sa grand-mère dimanche matin a été admise en tant que patiente dans le service psychiatrique de la Georgetown Public Hospital Corporation (GPHC).
Angelica Agatha Gamell, 75 ans, du Lot 168 Charity Housing Scheme, Essequibo Coast, a été assassinée vers 04h00 à son domicile.
Gamell vivait seule dans une maison plate en béton et recevait occasionnellement la visite de sa petite-fille, qui venait d’accoucher et souffrait de dépression post-partum.
Samedi soir vers 20h00, le suspect a rendu visite à la femme âgée en compagnie de sa petite fille d’un mois pour passer la nuit.
Cependant, vers 04h00 dimanche matin, l’un des voisins de Gamell a déclaré aux enquêteurs qu’elle avait entendu des cris forts, des piétinements et les pleurs d’un bébé venant de la maison de la femme âgée. Ces sons ont duré environ 15 minutes.
Peu de temps après, le suspect s’est rendu chez le voisin et a frappé à la porte.
Selon la voisine, lorsque la porte s’est ouverte, elle a vu la femme de 22 ans avec le bébé nu dans les mains. Le voisin a déclaré que le suspect lui avait dit que le bébé venait de mourir et avait tenté de le lui remettre. Le voisin a refusé de prendre le bébé.
La suspecte est ensuite sortie de la cour et dans la rue avec son bébé.
La police a alors été convoquée.
Lors de l’inspection de la maison, les rangs ont découvert le corps de Gamell vêtu d’une chemise de nuit blanche avec des taches de sang présumées et des collants noirs, allongé face visible sur un tapis de sol dans la cuisine.
Le corps a été examiné et une grande blessure a été vue derrière le cou et une à la tempe droite. En outre, deux grandes blessures ont été vues à l’arrière de la tête de la femme âgée. Tous les cheveux de la femme âgée ont également été rasés de sa tête et placés sur le sol de la cuisine.
Une paire de ciseaux avec ce qui semblait être des taches de sang a été retrouvée sur une cuisinière à gaz. Un bocal en verre cassé a été retrouvé sur le sol à côté du corps et du sel de cuisine a été vu éparpillé sur le sol.
Une autopsie doit être pratiquée sur le corps de la victime demain. Pendant ce temps, le suspect est actuellement sous garde policière en attendant son évaluation et son traitement.