Le Syndicat des enseignants de Guyane (GTU) a saisi la Haute Cour vendredi avec plusieurs requêtes, dont une demandant au tribunal d'ordonner au gouvernement de s'engager dans des négociations collectives sur les salaires de 2019 à 2023.

APPLICATIONS:

  • Un mandat de mandamus obligeant le gouvernement du Guyana à s'engager dans des négociations collectives de 2019 à 2023.
  • Une ordonnance selon laquelle M. Sadam Hussain, directeur général, et Mme Shannielle Hoosein-Outar, secrétaire permanente du ministère de l'Éducation, seront détenus pour outrage au tribunal, pour réticence et mauvaise foi pour avoir refusé de discuter de la négociation collective pour la période 2019- 2023
  • Une ordonnance enjoignant au ministère de l'Éducation de divulguer toutes les correspondances entre le GTU et le ministère de l'Éducation, en ce qui concerne les discussions de négociation collective, comme le prétend le ministère de l'Éducation, ou, à défaut, de divulguer s'il y en a ou non.
  • Déclaration selon laquelle le Syndicat des enseignants de Guyane a le droit de négocier au cours de la période 2019-2023.
  • Déclaration selon laquelle le refus de négocier pour la période 2019-2023 constitue une violation du droit du GTU et de ses membres à la négociation collective en vertu de l'article 147 de la Constitution de Guyane.
  • Déclaration selon laquelle le procès-verbal du 7 mars 2024 a créé un accord contraignant.
  • Déclaration selon laquelle l'accord issu du procès-verbal du 7 mars 2024 a créé une confiance légitime.

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