Voir la déclaration complète du procureur général Chambers :

L’article 32 de la Constitution du Guyana impose à l’État et, par extension, au gouvernement du Guyana, le devoir de prendre soin et de protéger la propriété publique.

À la lumière de la destruction gratuite de biens publics et de propriétés de services publics par des entrepreneurs dans l’exécution de leurs obligations contractuelles dans des projets d’infrastructure et d’autres travaux publics, le gouvernement du Guyana a décidé qu’avec effet immédiat, tous les contrats exécutés par le gouvernement du Guyana La Guyane, les autorités publiques et les agences de l’État, doivent contenir des clauses expresses qui obligeraient les entrepreneurs à réparer et réhabiliter tous les dommages ou destructions causés ou occasionnés à tout bien public ou à la propriété de tout service public dans l’exécution de leurs contrats, dans le but de restaurer les biens endommagés, dans la mesure du possible, dans l’état dans lequel ils se trouvaient avant ledit dommage ou ladite destruction.

Ces clauses prévoiront en outre qu’une violation des clauses ci-dessus par les entrepreneurs habilitera et autorisera l’autre partie au contrat à évaluer la valeur des dommages ou destructions causés, la perte publique et les inconvénients subis ainsi que les coûts de réparation et de réhabilitation du ledit dommage ou destruction de la manière susmentionnée ; et la valeur totale de celui-ci sera déduite ou prélevée sur les garanties de bonne exécution ou autres cautions déposées, les garanties de rétention fournies, ou sur les paiements dus en vertu des contrats.

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