Le Ministère de l’Éducation, à travers l’Unité des Arts Alliés, a collaboré avec la Fédération Guyana des Échecs pour organiser un séminaire d’échecs de quatre jours qui a culminé aujourd’hui à l’École des Nations à Georgetown.

Le séminaire s’adressait aux enseignants de 15 écoles, dont des écoles privées, et aux représentants de la Fédération. Les écoles sont le Queen’s College, le President’s College, l’école secondaire St. Rose’s, l’école secondaire St. Joseph, l’école secondaire Skeldon Line Path, l’école secondaire Richard Ishmael, l’école secondaire Uitvlugt, l’école secondaire JC Chandisingh, l’école secondaire Vryman’s Erven, l’école primaire McKenzie, École spéciale St. Barnabas, école secondaire Westminster, école spéciale Harold B Davis, Académie Qayyim et École des Nations.

L’animateur du séminaire était M. Jerry Nash, président de la Fondation Chess in Education. Selon M. Nash, le séminaire était un cours de « Préparation des enseignants » et les enseignants qui termineront le cours avec succès porteront le titre d’instructeur scolaire par la Fédération internationale des échecs (FIDE).

Il a déclaré que le cours enseigne les bases des échecs mais aide également les enseignants à utiliser les échecs pour enseigner les échecs académiques et 21St Compétences du siècle. M. Nash a souligné que même si le programme peut produire d’excellents joueurs d’échecs, l’objectif est que chaque étudiant puisse obtenir un diplôme universitaire et 21 ans.St Compétences du siècle plus rapides avec une rétention plus longue en utilisant les échecs.

Il a expliqué que le jeu d’échecs en entier n’est pas joué, mais que quelques pièces sont utilisées pour jouer à des mini-jeux afin d’enseigner diverses compétences telles que la pensée critique, la pensée créative, la collaboration, la prise de décision et la communication. «Ils sont 21St Chaque élève a besoin de compétences du siècle, pas seulement les joueurs d’échecs, et pas seulement pour la classe mais pour le reste de sa vie », a noté M. Nash.

Selon l’animateur, l’idée n’est pas d’ajouter les échecs comme activité supplémentaire à l’horaire scolaire, mais d’incorporer le sport dans l’enseignement quotidien des matières, lorsque cela est possible, pour améliorer l’expérience d’apprentissage des enfants.

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