Le ministre des Travaux publics, Juan Edghill, a révélé que la boîte noire de l’hélicoptère des Forces de défense guyanaises qui s’est écrasé au début du mois dans la région sept et a coûté la vie à cinq militaires a été extraite et emmenée aux États-Unis dans le but de récupérer des données critiques.

Au cours d’une conférence de presse aujourd’hui, Edghill a révélé qu’un enquêteur sur les accidents et incidents avait été nommé pour enquêter sur l’incident.

Selon le ministre des Travaux publics, la semaine dernière, il a autorisé l’enquêteur à se rendre aux États-Unis pour livrer la boîte noire au National Transportation and Safety Board afin de récupérer des données afin d’aider l’enquête en cours à déterminer ce qui s’est passé en décembre. 6 crash.

Edghill a également rejeté les informations selon lesquelles l’hélicoptère militaire transportait un moteur pour un mineur au moment de l’accident.

Le GDF avait précédemment déclaré que l’hélicoptère transportait de hauts responsables de l’armée dans le cadre d’une mission de commandement jusqu’aux frontières du Guyana, où sont stationnées les troupes.

Les victimes de l’accident sont le brigadier (à la retraite) Gary Beaton ; le lieutenant-colonel Michael Shahoud ; Lieutenant-colonel Sean Bienvenue ; Le lieutenant-colonel Michael Charles et le sergent Jason Khan.

Deux soldats ont survécu à l’accident : le caporal Dwayne Jackson et le lieutenant Andio Crawford.

Le 6 décembre, l’hélicoptère Bell 412 a quitté le quartier général de GDF au Camp Ayanganna à 9h24 et a parcouru 144 milles jusqu’à Olive Creek, où il est arrivé à 10h27. Après avoir fait le plein, l’hélicoptère est parti à 10h58 pour un voyage de 58 milles jusqu’à Arau mais s’est écrasé dans la jungle.

Des efforts sont déployés pour extraire l’épave du site de l’accident. L’hélicoptère a subi des dommages importants, notamment au niveau du fuselage, dont il ne reste que quelques morceaux.

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